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Qui me parle ? Aucun homme.
L'invisible, le célestiel, le Vivant,
Je n'obéis qu'à l'Un-jonction !
Sur le chemin la voix s'y fraie,
Retour au corps, intérieur changé.
D'apparence vêtu d'une peau,
Une graine pousse vers là-haut.
Je cherche l'insigne de la foi,
Peu de traces, compte gouttes...
Cet ancien monde sang s'étouffe,
Échange de lumière, le Nouveau !
Les violents règnent et jouent du violon,
Chape de plomb l'ego, qui est le bien venu...
Aucune transcendance ni vision au-delà du corps !
Saurons-nous jeter le vête-ment, avancer nus ?
Le Plan, qui est transformation, huile t'il ?
Désiré mon nom, parmi la multitude des rebus,
Témoin d'un Amour, du Vivant, d'une Matrice.
Plus j'avance, plus je sens, moins je sais :
Les forces de vie illuminent la mort partout à l’œuvre !
