Tout meurt,
En soi et autour de soi :
Illusions, identifications, constructions...
Tout est programmé, pour les matriciés...
L'anéantissement en Dieu,
Et rien ni personne pour s'accrocher
Même la connaissance est superflue,
Même l'ignorance est la bienvenue,
Au royaume de l'Un-connu, vierge d'esprit...
D'où cette voix qui me donne usé et perdu ?
Le corps ténébreux garde une mémoire de survie !
L'entité n'a pourtant pas de prise sur la fleur fanée...
Souffrance fuie ou niée,
La vie aurait sans elle plus de sens ?
Laissez-nous donc dévoiler notre double identité !
Qui de nous deux porte l'autre ?
Qui est le nouveau-né ? Et par quel prodige ?
Ma volonté n'est rien face au Plan déjà bien agencé.