Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Iod (2011) - Page 4

  • Aspiration

    Tout meurt,

    En soi et autour de soi :

    Illusions, identifications, constructions...

     

    Tout est programmé, pour les matriciés...

    L'anéantissement en Dieu,

    Et rien ni personne pour s'accrocher

     

    Même la connaissance est superflue,

    Même l'ignorance est la bienvenue,

    Au royaume de l'Un-connu, vierge d'esprit...

     

    D'où cette voix qui me donne usé et perdu ?

    Le corps ténébreux garde une mémoire de survie !

    L'entité n'a pourtant pas de prise sur la fleur fanée...

     

    Souffrance fuie ou niée,

    La vie aurait sans elle plus de sens ?

    Laissez-nous donc dévoiler notre double identité !

     

    Qui de nous deux porte l'autre ?

    Qui est le nouveau-né ? Et par quel prodige ?

    Ma volonté n'est rien face au Plan déjà bien agencé.

     

  • Un jardin d'enfants

    Ma vie est à l'imitation du Christ,

    J'évolue dans l'ombre du Père

     

    Vérité et souffle, témoin de la Lumière,

    Je ne crois pas en l'or et ruse avec les psychiques

     

    Laisser le souffle agir c'est modeler la chair

    Beaucoup sont en mode guerre et ne se soucient pas de l'éther

     

    Il faut une tête pour déjouer les plans contre nature

    Hors la Présence, pas de matière grise pour co-naître

     

    Les suffisants se passeraient volontiers du Créateur

    Pourtant l'homme reste un épiphénomène à l'échelle de l'Univers

     

    L'Homme, cet être-Ange mystère, jalousé ou dénié à souhait

    Nouveauté dans la création et ignoré par les inter-mi-temps

     

    Les enfants n'ont pas peur du ridicule ni ne se sentent importants

    C'est pour ceux-là que le Royaume, hors de raison, est préparé.

     

  • Solétude

    Le monde ne fait que prendre

    La sensation de posseder n'est qu'éphémère

     

    Mieux vaut "être" pour traverser les tempêtes

    La souffrance n'existe plus dans la profondeur

     

    Est-il mon frère, celui qui jalouse ce que JE SUIS ?

    Qui suis-je pour partager ce en quoi l'autre ne croit plus ?

     

    Du haut de mon mètre je me considère

    Mais de la hauteur du Maître, le silence éclaire

     

    En face à face avec moi-même quelquefois je gagne

    Le plus souvent, dans l'oubli, je retrocède ma place à l'hôte.

     

  • Si Dieu le veut

    Bonnes fêtes de fin d'année à tous les lecteurs de ce blog, anciens comme nouveaux, fidèles comme de passage, connus comme inconnus. Que la nouvelle année soit riche de Ses promesses.

    A Dieu, l'Esprit de sagesse, aux anges et archanges, aux prophétes de l'Amour, aux éveilleurs et éveillés.

    Paix.

     

    Chaque note peut être la dernière

    Quand on n'a pas de plan de carrière

     

    C'est mû par la tâche qu'arrive une nouvelle couvée

    Afin que le puzzle se rassemble année après année

     

    L'identité du Christ n'est contenu dans aucun qualificatif humain

    Aucun dogme, aucune philosophie n'emprisonnent le Vivant

     

    Le nombre attend Celui qui est le signe de l'Heure

    Pourtant personne, dans le temps, n'occupe le Mont laissé désert

     

    Reste un point, une brèche dans la bâtisse humaine

    Pas même un homme, Cela qui illumine la matière

     

    La création est encore dans les douleurs de l'enfantement

    Et pas un IOD ne passera sans que le Plan divin soit accompli

     

    Alors que l'on se rapproche à grands pas d'une date stratégique

    Tout concourt pour ne plus avoir honte d'être pauvre et méprisé.