Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Précellence

    Parfois je suis le bug dans la machine,

    Lorsque je deviens le rouage qui stoppe l'engrenage.

    La plume affutée, le regard éveillé, Je questionne...

    Alentour les rengaines et habitudes sont brisées :

    Je téléscope les plans de massification des actes !

     

    Je n'ai encore jamais été le buzz de la machine.

    Ne rien faire qui puisse attirer les néons,

    N'avoir vocation ni à divertir, ni à polémiquer,

    Indifférent car Un-visible à leurs regards ;

    Un jour, ils trouveront un veilleur dans le noir !

     

    Parfois je suis le bug de la machine,

    Lorsque tout ne se passe pas comme je le voudrais,

    "je" devient le parasite qui maugrée et dit non à ce qui est,

    "je" crée un monde parallèle où le présent n'a plus cours,

    "je" suis mon pire ennemi, rebelle à l'Ordre établi.

     

    Il y a un bug à ne pas faire le buzz face à tous ces vautours :

    noyé au milieu de tous ces déchets (qui) te rient au nez,

    A défaut du nombre je me contente de l'auditeur de qualité,

    En restant conscient que ce que je donne peut aussi m'évider.

    Patientons encore jusqu'à ce qu'ils étouffent de leur médiocrité...

     

  • Vivant

    Je suis malade car je vois la fin de tous et en tout

     

  • Faux et usage de faux

    2012 bienvenue dans l'ère du faux et de la superficialité à tous niveaux.

    Les postes d'information stratégiques sont tenus par des pantins tirés à 4 épingles

    Mais l'Un-formation, la vraie, touche toujours les mêmes thèmes et le même Rappel :

    Il ne s'agit pas tant d'éteindre l'écran que de ne s'identifier qu'à son silence étale...

     

    Sous le ciel des fixes il n'y a pas que la violence et la perversité des démons.

    Le ciel a plusieurs voûtes et ce n'est souvent que la première des sept qui est relatée.

    Cela en dit long sur la nature des chroniqueurs et la fin de leur monde décadent.

    Les vrais savent que c'est l'Amour qui dirige la planète jusqu'à la grande régénération.

     

    La Terre est aux manettes de gens pas très bienveillants qui font dans l'inhumanité.

    Dieu s'est comme retiré d'eux, séduits qu'ils ont été par les promesses et illusions.

    Perché sur leur cou, leur maître, qui se repaît de leur cervelle et qui tire les rênes,

    Ils ne sont plus que le fiacre qui réagit aux injonctions et suggestions du Chuchoteur.

     

    Les ténèbres n'ont pas grandi mais la lumière s'est concentrée sur le liant du quotidien :

    En haut de la pyramide ceux qui ont un centre et qui rassemblent dans l'ombre.

    La hierarchie est respectée, au-delà du rêve les vrais hommes sont en place,

    Lorsque le voile sera retiré apparaîtra sous-jacent l'édifice que nul ne saura ébranler.

     

  • Donne

     En terme de spiritualité ou religion, je vais souvent vers le plus offrant

     

  • Libre

    J'escompte de Dieu qu'IL me gracie un jour en me libérant de mon joug

     

  • Donne

    J'agis comme si personne ne m'attendait mais que le temps m'était compté,

    Paradoxe qui oblige à ne jamais remettre au lendemain la tâche quotidienne.

     

    J'écris comme je vis et comme ça vient, sans me soucier des conséquences :

    Les maux me brûlent, sortent pêle-mêle et comme le Feu ils divisent.

    Les mots viennent après, au sein d'une structure, sous forme d'ondée.

     

    J'agis comme j'écris, à l'écoute d' un-jonctions impérieuses.

    La sagesse est au bout du Donne, lorsque tout est accompli !

     

  • Verbe

    D'où cette manie d'idôlatrer ? Ils ne savent donc pas lire les livres sacrés ?

    Quand on cherche l'Un-formation, on ne choisit pas celle de seconde main !

     

    Rares sont les gens bien guidés. Pour la connaissance ils sont prêts à payer rubis,

    En vérité ils ne saisissent pas l'Esprit et n'ont pas trouvé la Source de Vie...

     

    Ils ont tellement de mal à donner sans reprendre, à lâcher sans contrôler la descente !

    Au fond de quoi ont-ils si peur, si ce n'est d'eux-même et de leurs noirs dilemmes ?

     

    Pourquoi ce besoin de maîtres à penser ? Ils ne savent donc pas sentir la justesse en tout ?

    L'homme n'a ni connaissance du futur, ni du passé. Il projette juste ses goûts et intuitions.

     

    La pensée n'est pas l'ultime stade de la sagesse. Son absence est le début d'une ère :

    Aime en Dieu et tu penseras par toi-même. Sois-LUI et tu deviendras libre...de toi !