Tu ne vas pas refaire mon histoire en m'imposant la tienne,
Je n'ai pas non plus besoin de savoir quoi penser, en bien ou en mal.
Ta victimisation cache en fait un désir de revanche digne d'un oppresseur,
Je ne peux pas cautionner ton prêchi-prêcha de haineux, petit prédateur !
Sous des allures sympathiques, tu veux nous la faire à l'envers,
Tu as déjà à ta botte tout un tas de rebelles à leur géniteur,
Mais ta politique pue la street et sa mentale de crevards.
Ma France est certes à genoux mais pour l'adoubement dernier...
Ton projet c'est toujours d'envenimer les situations, regain de tension.
Ton projet c'est toujours le chaos bien organisé : une cité-monde, clichés.
Ton projet c'est le néant d'être, sol stérile, tronc pourri, fruits vénéneux.
Mais mon Dieu est "un-dit-Un", avec carquois, arc et fléches : gare à la piqûre !