Je suis venu incognito, je repartirai Un-cogito, sans haine
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Je suis venu incognito, je repartirai Un-cogito, sans haine
Chaque jour un sursis,
Apokalyptik mind !
Le poids est porté,
Les défis du quotidien relevés,
Jusqu'ici élève de la courtoisie...
Peut-être pires, les jours à venir,
Le futur, que nous réserve t-il ?
S'en remettre à Dieu,
Pour le meilleur et pour le pire.
Le chemin mis en lumière...
La vie n'attend pas,
La joie est degré, intensité.
Pour éviter le déluge émotionnel,
Les pensées sol-air : panser !
L'écriture comme thérapie...
Quadrature du cercle,
Ou simple échappée belle ?
Il suffisait d'un toit ouvrant,
Pour libérer l'Ether n'ailes.
Pas d'autre clé que la Co-naissance...
Je vis mal mon corps,
J’étouffe presque;
Toutes ces années de disette...
Et les multiples barrages à la Source.
Je vis sur la brèche,
Tendu comme un fil sol-air.
L’homme a été créé impatient,
Capricieux et pressé d’être loué.
Dieu est équanime dans ses largesses,
Il est le préteur à gage de tous les cœurs,
Décide seul du temps et de l’Heure,
Pour l’instant, celle des donneurs universels.
Je suis le traître des belligérants,
Je suis le prêtre des marginaux errants,
Je suis l’énergie qui ne se laisse pas murer,
Je n’ai pour parti pris que l’Esprit qui donne Vie.
Les signes sont pour les faibles. Il s'agit d'être l'Un-signe : Ô tonne Homme !
Nous, on s'en fout d'être grand, d'en imposer ou d'être Monsieur Untel...
On ne cherche ni à briller ni à se faire remarquer par une lumière éphémère,
Personnellement je n'ai rien à prouver, ne cours derrière aucune reconnaissance terre-hyène.
Le sens de mon existence ? La Co-naissance réitérée, acte d'Amour, dont le fruit est pour tous.
Parfois je "pue" la défaite, je n'ai pas le coeur à porter ma tête, je me sens faible et démuni.
Même si je tends à la perfection, je n'abhorre pas l'imperfection : dans les deux cas, je me sens soutenu.
Celui qui écrase est tel un animal : toujours aux aguets, il ne sait pas demeurer en paix.
Aucun mérite à se considérer élite, c'est Dieu seul qui distribue les feuilles d'or de l'Arbre de Vie,
Respecter la création c'est la considérer en évolution et en mouvement, loin de tout jugement figé.
Tu ne vas pas refaire mon histoire en m'imposant la tienne,
Je n'ai pas non plus besoin de savoir quoi penser, en bien ou en mal.
Ta victimisation cache en fait un désir de revanche digne d'un oppresseur,
Je ne peux pas cautionner ton prêchi-prêcha de haineux, petit prédateur !
Sous des allures sympathiques, tu veux nous la faire à l'envers,
Tu as déjà à ta botte tout un tas de rebelles à leur géniteur,
Mais ta politique pue la street et sa mentale de crevards.
Ma France est certes à genoux mais pour l'adoubement dernier...
Ton projet c'est toujours d'envenimer les situations, regain de tension.
Ton projet c'est toujours le chaos bien organisé : une cité-monde, clichés.
Ton projet c'est le néant d'être, sol stérile, tronc pourri, fruits vénéneux.
Mais mon Dieu est "un-dit-Un", avec carquois, arc et fléches : gare à la piqûre !
Le Nouvel Ordre Mondial pue la mort de l'être !
Pire que la guerre, c'est l'indifférence qui est actée.
Aucune reconnaissance du vécu, ni de l'effort intérieur,
C'est tout pour l'investissement à la cause financière,
C'est tout pour la délation comme ressource policière :
L'humain 2.0 est à son meilleur niveau d'involution...
Le client, des pions n'est pas le roi ; il n'est que mépris et chiffre.
Tel le bus vs voiture, on retrouve l'archaïsme de la loi du plus gros.
Des robots incompétents gèrent les conflits, il n'y a plus de bienveillance.
A chaque coin de rue, la misère côtoie le luxe et la mode, mondes en collision,
Le froid frappe les corps et les coeurs, l'effroi gagne les amoureux de la Terre.
La démocratie 2.0 c'est un cortège de lois et de paroles violentes, reflets de soi.
Ils te font croire que ton existence n'a pas de sens,
Ils te font passer pour un névropathe en puissance,
Ils souhaiteraient que tu aies honte d'aimer,
Ils aimeraient te voir mort par peur de la Vie.
Ami, ne construis pas de citadelle en pierre ou en or,
Donne toutes tes forces dans la bataille et sois la faille !