Mes écrits sont des lance-pierres face aux Goliaths de la désinformation
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Mes écrits sont des lance-pierres face aux Goliaths de la désinformation
Un signe sûr en provenance de Dieu c'est que le ciel te soit définitivement tombé sur la tête
L'actualité c'est toujours le tonnerre qui gronde et qui frappe,
En préfiguration du Jour de la colère qui s'approche à grands pas...
Ni avertisseur ni donneur de leçons, juste témoin des exactions,
La moisson est abondante et les ouvriers peinent à trouver leur mission...
C'est l'heure de la distraction et des pièges du mirage monde :
Le tout extérieur a fait une croix sur le royaume intérieur.
Etre disponible alors que tout ou rien nous obnubile,
Etre calme et serein alors que la suspicion est de mise.
Illuminés de l'intérieur, le monde ne nous voit pas,
Illusionnés par l'extérieur, les gens sont observables à merci.
Quelques veilleurs transpersent épisodiquement l'espace-temps,
Un détail dans le rêve des morts-vivants mais qui porte fruit...en secret !
Ce n'est que le monde qui m'a abandonné,
Ce n'est pourtant pas faute de l'avoir cotoyé.
La technologie ne rapproche que les machines :
Aucune perspective d'évolution avec pour ami la puce.
Au royaume de la séduction les images sont reines.
La Face originelle, invisible, n'a aucune chance de percer.
Ce monde froid, déshumanisé est pour les "horizons tôt",
Celui qui marche avec l'infini se contente des "Révéle à Sion".
La génération sainte s'endort dans des rêves de grandeur,
Il ne s'agit pourtant pas tant d'être reconnu que de Co-naître.
Ce siècle ? A tout prix exister jusqu'à parfois l'oubli de Soi
Je suis un agent au service du Vivant
Si ce que j'écris te touche,
C'est que tu es de la même souche,
Toi et moi ne formons qu'une seule bouche.
Quand tu l'ouvres cela fait mouche,
Pour l'autre qui n'est pas, c'est la douche,
Un véritable guerrier urbain sait qu'il évolue dans un busch.
Dans ce monde il y a quelque chose de louche :
La plupart des gens sont devenus farouches,
On les croirait téléguidés par une fourche !
Mon visage est originel, chez moi pas de couches !
Un jour, tu le sais, nous ferons un putsch,
Souviens-toi du châtiment de Bush : une bas-bouche !