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Valse à trois temps

 

Les liens de la chair le lacèrent, ils sont des fouets qui Lui arrachent des lambeaux de peaux
Se sentir à l’étroit dans son petit Corps terrestre, comme gisant dans un tombeau, enterré vivant
Ce corps est un cadavre qu’Il porte, Il est un legs qui vient de la terre et retournera poussière
Lumière sans Corps, non attachement, vue de l’Esprit qui anime toute chose et redonne vie

 

L’écorce de l’arbre millénaire lui donne une teinte brune, mais le tronc est d’un blanc laiteux
Ainsi en est-il du Corps originel, au-dedans de l’apparence et du vêtement faisant face monde
Ce corps est un puissant catalyseur étherique, Il est l’athanor qui réorganise le chaos alentour
Corps sans lumière, implacabilité du jugement, réparation et préparation de l’harmonie céleste

 

Lorsque des deux l’UN se fait, que chaque cellule de matière est à nouveau réencodée de lumière
Esprit et Corps s’unissent pour la naissance de l’Ame et c’est un tout un Univers qui prend forme
Qui peut saisir l’insaisissable, qui peut comprendre l’irrationnel, qui peut déchiffrer l’encodage ?
Celui qui vient, fidèle à Sa promesse, se forme à l’image du devenir qu’Il prophétisa quand il fût !

 

 

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