L ’histoire de l’homme s’arrête souvent là où ses conditionnements l’ont conduits
Oublieux en cela de ses devoirs et du prix à payer, sans doute par manque d’ambition
Ne pas s’engager sur le chemin des lois ontologiques c’est préférer le mensonge de l’inexistence
C’est accepter tacitement que la volonté de l‘homme supplante celle du Dieu véritable,
Lâches sont les hommes qui par la violence érigent leur justice imparfaite en étendard
C’est l’hôpital qui se moque de la charité, l’apprenti guerrier qui joue avec le feu
La soi-disant inexistence de Dieu, soit son invisibilité aux yeux profanes et voilés
Procède belle et bien d’une finalité, mais qui peut saisir l’Un parfait ?
Le jugement se fera bien par un homme, malgré tout le mal dont il fut créé
Mais cet homme ne croira pas en lui, ni en son prochain, à moins que l’autre ne soit LUI.