Mon devenir n'est pas terrestre, je le sais de source sûre
J'envoie des hameçons à la Mer mais la pèche est maigre
Seuls quelques oiseaux saisissent une brindille à la volée
Mais les rapaces veillent aussitôt à s'emparer du butin
La pollution s'est accrue de façon exponentielle
Et la voix du désert , celle du silence, n'est plus entendue
Un fatras de billevesées recouvre la surface du globe
Les équilibres sont instables et les chutes fréquentes
Les terriens sont lourds et ne connaissent pas la légéreté
Ils ont oublié de porter le poids et sont balayés par les vents
Les signes visibles correspondent pour eux à des accidents
L'Univers méconnait la Miséricorde et c'est là le Jugement
Commentaires
Alfa et oméga ?
Non ça j'en ai assez !
Comme l'entropie qui baisse hein !
Il y en a qui n'on même pas le temps que ça baisse naturel.
L’expérience
Dans une prairie, en bordure de forêt,
Batifolait le nez en l’air, une sauterelle,
Sous un gracieux et doux soleil d’été,
Jouant de ses reflets battant des ailes,
Et vient récemment de quitter sa famille.
Un jeune renard radieux qui se faufile,
Ce décor touchant le mettant en émoi,
Sorti soudain de l’abri de son sous-bois.
— Mais que faites-vous à sauter ainsi,
S’enquit ce petit renardeau si hardi,
Est-ce une danse, dite, cette pratique
Qui vous rend tellement magnifique !
— Point du tout, vous vous méprenez,
Quand je saute, je cherche à manger,
Et ainsi, me pose sur des tendres fleurs
Dans lesquelles je trouve mon bonheur.
— C’est ainsi que vous trouvez votre pitance,
S’enquit notre incrédule, petit renardeau,
Ma mère pratiquait-elle, dite, cette danse
Lorsqu’elle partait à la chasse aux mulots ?
— Je ne saurais hélas, point vous le dire,
Vous n’avez qu’à essayer de danser
Allez-y, ce que vous risquez, au pire,
C’est juste de vous casser le nez !
Alors, le renardeau prenant son courage,
Dans l’insouciance de son jeune âge,
Se mit à faire sans aucune autre façon,
Un, deux, puis toute une série de bonds.
Et voilà que, par le plus grand des hasards,
Sous ses pattes, sent une chose bizarre,
Il vient de tomber à la fin de ses sauts,
Sur le dos d’un beau et bien dodu mulot.
C’est depuis ce jour-là que sans le savoir,
Lorsque le soleil se couche et qu’arrive le soir,
On peut voir au milieu des grandes prairies,
Tous les renards sauter comme des cabris.
*Compagnon jovial.
Un joyeux *drille.
C'est quand même mieux non ?
Marie-Lise Ehret
13juin 2010
.................
Chat, alors !
Logiquement la pauvre bête à 50 ou 50 % d'être vivant ou mort évidemment !
Mais en réalité, il est mort et vivant à la fois ! Non ? Si !
Son état vivant ou mort, dépend de l'émission ou nn de l'atome d'uranium, Oui ? oui !
Or ce n'est pas fini excusez moi, un atome d'uranium est un *être quantique auquel est applicable le pricipe de superposition.
Alors ? et bien il peut être à la fois intact et désintégré ce pauvre gros minet.... ça doit épater titi hein !
Moi je suis comme le petit prince, et sa fleur
Et parfois aussi comme titi gros minet
ça dépend de l'air du moment
je suis là sans *etre là
voilà
Chère marie lise
en vous répondant ici je ferais d'une pierre deux coups :
Je suis loin d'être saint d'esprit...puisque les "psys" me l'ont dit !
Il me reste néanmoins ma liberté de ne pas leur accorder de crédit.
Je n'ai d'ailleurs pas foi en la psychanalyse, encore moins en Freud, voyez-vous ? Elle déconstruit et joue avec le vivant, mais est incapable de reconstruire. Là -haut, c'est ce qu'on appelle un crime.
Pour info, je ne suis pas à me comparer, juste à tenter de séparer le vrai du faux. Et en ce qui concerne le Verbe, le principe, je m'en étais déjà expliqué ailleurs...je vous laisse chercher.
bonne continuation