Les caches misères de vos tombeaux ne m'effraient plus
A l'ombre de vos voiles, vous m'apparaissez vaincus et déchus
Vos abris sont semblables à des montagnes de neige blanchies
Mais vos ossements pourris nient les signes des cibles vivantes
Prisonnier de vos rêves, je suis rarement surpris par des merveilles entrevues
Vos cauchemars n'éveillent en moi que souffrance et poids, chute et trépas
Here I come, a neck surrender
Invisible way of looking troughout
I'm dancing with the stars
Never alone when travelling night
Derrière, sous vos talons, vos actions
Dessus, telle l'épée tournoyante, le jugement
Je goûte un peu de vos tourments
Mais vous laisse libres de vos jugements
On a toujours le choix de nos associations passées et à venir
Mais une vie équilibrée est sans attache de tout lien incarné
Qui y a-t-il à ressusciter lorsque la corde d'or est dénudée
Et que le moi reste un masque à afficher, un rôle à jouer ?
Impassible et invisible témoin au milieu des faux semblants
Les vestiges du passé déambulent fièrement, dépendants du temps.
Commentaires
La corde d'or ? ou veau d'or ?
mais je n'en ai point de corde d'or
Elle est une simple corde normal,
La réssurection y en a jamais
on a la vie, l'aube , l'aurore, le firmament et la mort
nul ne sait où le chemin s'arrête.....
Venise , est une ville où les pigeons marxhent
Où les lions volent
Va petite,
Va sans nul autre souci
Que de conserver ta joie !
Fripe tes jupes de soie
Et goûte les vers aussi
La morale la meilleure
En ce monde où les plus fous
Sont les plus sages de tous
C’est encore d’oublier l’heure
Il s’agit de n’être point
Mélancolique et morose
La vie est-elle une chose
Grave et réelle à ce point ?
Autrefois engouffrée
De certitudes arrivées
Tu touches à ton insu
La branche du glacier.
J'ai pas encore touché
Le glacier parce que je
Serais pas en trains de
Parler !
allez bonne journée
à TOUS
Bonjour Jean Plume !
vous portez bien votre nom
Grand-Père a Vu Dans La Lune
Grand-père a vu dans la lune
Le grand roi des cornichons
Qui se battait pour une prune
Avec le roi des melons.
Tralala, croyez donc ça
Croyez donc ça, tralala.
Grand-père a vue en Afrique
Un grand lac de vin sucré
Et des monts en Amérique
En sucre cristallisé
Tralala, croyez donc ça
Croyez donc ça, tralala.
Grand-père a vu des sardines
Avec des cheveux dorés
Des serins et des serines
Croquant des bonbons glacés
Tralala, croyez donc ça
Croyez donc ça, tralala.
Grand-père a vu des grenouilles
Qui jouaient du piano,
Ses fourmis dans des citrouilles
Qui jouaient aux dominos.
Tralala, croyez donc ça
Croyez donc ça, tralala.
Grand-père a vu tant de choses
Qu’en vérité, s’il voulait,
Il vous en dirait bien d’autres,
Cent fois plus, s’il le pouvait.
Tralala, croyez donc ça
Croyez donc ça, tralala.