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  • Qui ?

     

    L'être humain est une gamme,
    Avec des touches blanches et noires.
    Joue et le mélange opère...
    Ne reste que cacophonie ou mélodie,
    Selon la stature du chef de cœur.

     

  • Journal de bord


    Lumière de la Révélation
    Loin d'être bienvenue chez tous !
    Face à face, les deux font T'aime,
    D'aucuns vivent en bonne compagnie.
    Tyrannique avec le tout extérieur,
    Miséricordieux pour l’œil intérieur...
    Tout converge, je vous rattrape :
    Hier noyé, je prends les devants.
    Jeûne au monde, astreinte de pain,
    L'immonde est déterré comme un lapin.
    Les flots demeurent impétueux,
    Le déformatage suit son cours.

     

  • Le sot des prophètes

     

    Ô vide, ô vent, ô diable !
    Longtemps tu m'as claquemuré :
    Le désert ma destination,
    La banlieue ma domiciliation,
    C'est du cœur dont je fus dénié,
    Moi en tant qu'émissaire.
    Ils sont peu, Tes adorateurs.

    Ô Feu, ô souffle, ô Créateur !
    Peu m'importe le nombre,
    Peu m'importent les amants,
    Je ne suis pas intercesseur.
    Qui se souvient vraiment ?
    Ta Mémoire raisonne t'elle souvent ?
    Ton Plan est-il pour tous ?
    Qui héritera de Ta Présence ?

    Essence et personnalité opposées,
    Violence des jugements imposés,
    C'est ton expertise contre ma praxis.
    J'ai renié la culture du dominant,
    Les idolâtres sont dans l'erreur,
    Nous sommes loin d'être seuls,
    Mon intelligence n'est qu'acquise.
    Dans cette note old school tout est frais,
    J'y ai mis quelques nobles vérités !

     

  • Les zélus

     

    Cœurs adultères courant vers le dernier sujet clinquant,
    De Mémoire ils picorent chaque offre de la vie, insouciants,
    La fidélité peu question sauf au monde, ses rouages, son argent.
    L'intelli-gent fera tout pour subsister, idole-âtre,
    Narcisse à souhait il amplifie et chosifie à l'excès, toute honte bue.
    Aux rires qui sont peurs j'oppose des leurres possessifs,
    Tant de stratégies pour se faire aimer au mépris de la Source.
    Pourvu que ça pense, tant que le juge ment sèchement,
    Suffisants en vase clos pour mieux se perpétuer...
    Tapi dans l'ombre, je guette patiemment votre faux pas,
    Tout pour la vérité, retour à la réalité, rééquilibrage,
    Votre temps à régner est compté comme votre toile usée !