Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

l'auton'homme

 

Je ne peux pas faire comme si l'autre n'existait pas,
Car le monde et ses affres est en moi


Mon équilibre est instable et fragile comme le cristal
Le Christ non révélé en toi et c'est la Bête qui emboîte le pas


Les assassins de l'Amour ne ressentent pas
Ils sont morts et déracinés deux fois


Seul, je ne suis ni ne sais rien
Ma parole est monnaie de singe et lapalissade


La Vie véritable est en Lui et par Lui
Le verbe de Dieu est nourricier et matriciel


Sur la terre cheminent les vivants et les morts
La raison ne sauvera pas ceux qui n'ont pas Cela


Le Christ est venu en rançon pour le monde
Mais la majorité n'a que faire de l'Eau de source


La plupart se contentent des prévisions de surface
Et sont dépendants les uns des autres de leurs provendes


La fin est comme le commencement : tout revient à la racine
Le dévoilement émonde les écorces successives jusqu'à la sève


Bienheureux ceux qui, de leurs vies, ont bâti sur le Roc
Ils ne seront point ébranlés par la Moisson...

 

Les commentaires sont fermés.