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le culte de la performance

 

Je suis ce que je suis et non pas qui je crois être
Nombreux ceux qui s’érigent en juges injustes ou en tyrans notoires
Or un bâton a toujours deux bouts,
et les bourreaux d’un jour se retrouvent victimes le lendemain.

Mais il n’y a pas de victimes, juste des êtres irresponsables
qui, du libre arbitre, n’ont décidé de retenir que les droits.
pas étonnant donc que le mensonge soit roi
là où l’effort de sincérité et de vérité envers soi-même est faible voire inexistant

Ce n’est pas une personne fictive qui vous parle
même si j’ai choisi le couvert du pseudo–anonymat
dans la rue comme chez moi, je suis toujours à l’Heure
et ne m’invente pas une vie parallèle, tissée d’imaginaire

Il fut un temps où je dessinais des symboles
Aujourd’hui je les vis, je suis sur le chemin de mon devenir
Au-dessus de moi ne plane pas l’épée du jugement,
Et mon ombre me suit à la trace, fidèle tel un chien

la vie est comme un film dont Dieu serait Le réalisateur :
tout le monde voudrait avoir les premiers rôles
en criant : regardez-moi, ne suis-je pas bon acteur ?
tout ce que j’ai réussi, c’est à base de persévérance et de fausses croyances…

mais les bons acteurs ne jouent pas, ils sont eux-mêmes, nus
et ce qui est touchant est justement ce qui échappe au contrôle
c’est en cela que l’on reconnaît l’humanité comme la bonté :
accepter sa tâche c’est se débarrasser des masques de nos oripeaux.

 

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