Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vérité

  • L'Esprit de Dieu

     Les visions proviennent d'un coeur épuré par la patience

    Les visions surgissent d'un coeur épuisé des appats rances

    L'autre monde est accessible sans injonction de substances

    Il suffit que le coeur cicrconcis se détache de son axe

    Il suffit que la sensation se déplace en dessous du thorax

    Vaines consolations d'un monde numineux sans en co-naître le chemin

    Les apprentis sorciers n'ont pas l'âme d'un nouveau-né par l'Esprit

     

    L'éveil n'est pas un but en soi

    La multitude des chemins qui y mènent est la Voie

    Pas un jour sans que Dieu ne soit cherché...et qu'IL se trouve

    Chaque moyeu de la roue emprunté est une Vérité

    Les droites sont autant d'accès à la Vie

    L'Esprit guide bannit les chemins tortueux

    Aimer et Donner sont les lois de chaque aventure.

     

  • Le front de la haine

     

    La vérité sans le souffle qui l’inspire n’est rien, à l’heure où chacun a ce mot à la bouche
    Y a t-il quelque chose de vrai dans ce monde dont une des lois est l’impermanence ?
    En réalité, seul demeure permanent, à la fois immobile, en mouvement et en repos, le Père.
    Certains l’appelleront un « champ de forces » ou encore l’ « Amour Absolu », la « conscience unifiée ».
    Il n’y a pas deux poids deux mesures. Dans ce monde, il a ceux qui sont issus du Père,
    Et il y a ceux qui n’en sont pas issus. Tout est question de racines, de fondement, de socle.
    Les religions ne sont que des paravents promettant le paradis pour tous,
    Sous couvert de pratiquer et de respecter des dogmes ou des rituels…
    Mais les vrais adorateurs du Père sont ceux qui parlent ou agissent en souffle et en vérité
    Ceux dont la parole nourrit, réconforte, amène au repos de l’âme et du corps
    En bref une parole qui amène à la concorde des cœurs et non à leur division,
    reliée qu’elle est par l’Esprit guide dont les adjectifs qualificatifs sont "juste" et "bon".

     

  • Pendant que la muse tambourine

     

    Nous devinons les trajectoires, supputons le désarroi des coeurs
    Ce qui est essentiel nous est dévoilé, d’un clin d’œil de l’ange
    Ce qui se rapproche de l’acte magique ne concerne pourtant que la force du lien qui nous lie
    Les signes se rapprochent à vitesse grand V et le processus est maintenant bel et bien enclenché
    Le compte à rebours peut commencer, le royaume est avancé
    Ils complotent, nous créons et vivons d’ors et déjà dans ce monde parallèle
    Nous en tenons les ficelles et sommes en quelque sorte les amarres du navire céleste
    Le poids que nous imprimons sur la terre sera un jour conséquent pour l’amerrissage
    Ce qui demeure caché a toujours la vocation un jour d’être dévoilé
    Les graines, un beau jour de printemps arrivent forcément à maturité
    Le beau ne peut éternellement se contenter du laid
    Qu’advienne donc la Vérité, que La Lumière soit, pour toujours et à jamais
    Puisque le temps nous est compté, puisque le monde a plus que jamais soif d’authenticité.

     

     

  • le culte de la performance

     

    Je suis ce que je suis et non pas qui je crois être
    Nombreux ceux qui s’érigent en juges injustes ou en tyrans notoires
    Or un bâton a toujours deux bouts,
    et les bourreaux d’un jour se retrouvent victimes le lendemain.

    Mais il n’y a pas de victimes, juste des êtres irresponsables
    qui, du libre arbitre, n’ont décidé de retenir que les droits.
    pas étonnant donc que le mensonge soit roi
    là où l’effort de sincérité et de vérité envers soi-même est faible voire inexistant

    Ce n’est pas une personne fictive qui vous parle
    même si j’ai choisi le couvert du pseudo–anonymat
    dans la rue comme chez moi, je suis toujours à l’Heure
    et ne m’invente pas une vie parallèle, tissée d’imaginaire

    Il fut un temps où je dessinais des symboles
    Aujourd’hui je les vis, je suis sur le chemin de mon devenir
    Au-dessus de moi ne plane pas l’épée du jugement,
    Et mon ombre me suit à la trace, fidèle tel un chien

    la vie est comme un film dont Dieu serait Le réalisateur :
    tout le monde voudrait avoir les premiers rôles
    en criant : regardez-moi, ne suis-je pas bon acteur ?
    tout ce que j’ai réussi, c’est à base de persévérance et de fausses croyances…

    mais les bons acteurs ne jouent pas, ils sont eux-mêmes, nus
    et ce qui est touchant est justement ce qui échappe au contrôle
    c’est en cela que l’on reconnaît l’humanité comme la bonté :
    accepter sa tâche c’est se débarrasser des masques de nos oripeaux.