Jung, Guenon, Castaneda, Desjardins...ont généré des nébuleuses claniques.
Autant de voies teintées d'ombres pour une lueur à la clé,
une semblable exigence, corps et âmes dévoués à des âmes incarnés,
des hommes brillants dont les "disciples" ont fait des mythes après coup,
à l'image des saints, canonisés à leur mort mais décriés de leur vivant.
Quatre simili "evangélistes" dotés de bons sentiments : sauver le monde...
Faux prophètes ? Véritables envoyés ? Dieu seul le sait !
Nouveaux paradigmes, réactualisation des symboles religieux,
résurgence d'une sagesse ancienne...autant de séduisantes perspectives,
chacun légitimant son "école" ou tâche au sein d'une tradition.
Une oeuvre littéraire, un culte de la personne, un statut hors norme,
nombreux sont ceux qui, ainsi lotis, ont guidés des foules.
La relation à Dieu avec maître a encore devant elle de beaux jours,
L'homme ne croit pas qu'il puisse retrouver sa liberté sans béquille,
or l'Homme ne croit ni en l'homme ni en Dieu. Il sait et co-naît.
L'appel est un autre chemin qui rend sans saveur les voies parallèles.
L'illuminisme est éclair, vérité, loin des clichés de la foi que sont les illuminés.
Le Christ est le bon berger, le Frère, le but et l'oeil du discernement.
Loin du rejet en bloc, il s'agit de voir en quoi les autres doctrines sont excentrées :
la richesse de l'âme n'égalera jamais la pauvreté de l'esprit, qui est souffle.