Le monde est ce que l’on en fait, les pensées adviennent en vérité
On ne peut infléchir la volonté de l’homme sans son consentement
Explorer ses plus bas instincts au détriment de cultiver les vertus est un choix.
L’homme est courageux pour affronter le terrain mais reste une nullité sur le chemin de l’intériorité.
Or il existe une menace pour celui qui ne fait pas le tri de ses propres déchets,
C’est de devenir un jour l’appât de ceux que l’on rejette.
Il n’aura fallu que quelques années pour faire entrer le terme « apocalypse » dans le langage courant
Il n’est pas un film, un disque ou un livre qui n’évoque un scénario catastrophe, ils sont même pléthore
L’ « apocalypse » est devenu un produit d’appel qui fait vendre, une date de fin est même annoncée.
Ces sombres projections des peurs de l’homme non accompli suscitent un écho chez leurs semblables, légions,
Mais il en est qui se tournent vers une autre alternative et qui se lèvent avec l’espoir de jours meilleurs,
Ceux qui ne s’effraient pas du terme, et y voient autre chose que des catastrophes à répétition programmées.
Il n’est pas contre nature de vouloir un jour briser la chaîne de l’éducation conditionnée
Au lieu de se construire par imitation, on se forge une identité à tâtons, comme le firent les êtres véritables :
Démasquer les fausses croyances, s’immiscer à la racine de la pensée, pour un jour mettre à bas le tyran notoire,
Puis se retrouver seul là haut, sans autre appui que l’Ange, sur le chemin devenu impraticable car sans repères.
Les périodes de tension ont toujours été propices à une accélération du développement spirituel de l’homme :
Les chocs à répétition sont le terreau du rappel de soi et traverser une crise nécessite une ingéniosité créative,
Etre au service des égo renforce la patience et l’endurance est un jalon sur le chemin de l’humilité,
Rayonner la joie est un nouveau modèle montré à la face de l’humanité, se passant d’un long discours...
Les tueurs du corps pullulent mais ne connaissent pas la voie de la régénération
L’ombre, à force d’être aimée devient lumière et la construction du corps invincible prospère,
Jusqu’à la mort symbolique et la renaissance, dans le corps glorieux, celui de la résurrection.
Tout, dans ce monde obéit au Plan Divin, ce qu’on croyait le mal se transforme en bien
Nous ne croyons plus aux histoires qui font peur. De rêveurs, nous sommes devenus éveilleurs.